La défiscalisation loi Girardin (plus d'info ici) constitue un dispositif fiscal très attractif pour investir en Polynésie : vous investissez dans un matériel pour le compte d'une PME ou dans la construction d'un logement social et en contrepartie vous bénéficez d'une réduction d'impôt. Cliquez-ici pour simuler votre bénéfice fiscal potentiel. Pour plus de détail sur notre offre Girardin, téléchargez notre brochure. Nous proposons également un FIP Outre-mer autorisant une réduction d’impôt de 38% du montant investi dans des PME éligibles en Polynésie. Pour en savoir plus, demandez à être contacté(e) par un de nos conseillers en investissements financiers.
Investir à Tahiti et dans le reste de la Polynésie tout en réduisant ses impôts
Vous pouvez investir dans des entreprises en Polynésie tout en réduisant ses impôts via le FIP Outremer, un nouveau dispositif fiscal entré en vigueur le 1er janvier 2017 qui autorise une réduction d’impôt correspondant à 38% des sommes investies dans des PME éligibles au dispositif, dans la limite de 24 000 euros pour les investisseurs mariés ou pacsés et de 12 000 euros pour les investisseurs célibataires, veufs ou divorcés.
Le bénéfice fiscal engendré par la souscription à un FIP Outre-mer peut donc atteindre 9 120 euros pour les contribuables en couple et 4 560 euros pour les contribuables célibataires.
Inter Invest, qui bénéficie de 27 ans d’expérience en investissement outre-mer, a lancé cette année son premier FIP Outre-mer, le FIP Outre-mer Inter Invest n°1, qui investira dans des PME de croissance en Polynésie ainsi que dans les zones Antilles-Guyane et Océan Indien. Pour en savoir plus sur ce fonds d’investissement de proximité, téléchargez la brochure commerciale.
Enfin, grâce à la loi Girardin qui a été prolongée jusqu’au 31 décembre 2025 pour Tahiti et toute la Polynésie, un contribuable redevable de l’impôt sur le revenu peut réduire sa note fiscale en investissant dans des entreprises ou des logements sociaux dans l’archipel polynésien. Ainsi financer un matériel industriel qui sera loué 5 ans puis cédé définitivement à une entreprise polynésienne offre une réduction d’impôt (loi Girardin industriel). De même, investir dans des logements de type HLM qui seront loués pendant 5 ans puis définitivement cédés à un organisme de logements sociaux polynésien (qui sous-louera les habitations à des personnes éligibles) offre également une réduction d’impôt (loi Girardin logement social). La particularité de ce dispositif de défiscalisation se traduit par un investissement à perte qui sera largement compensé par une réduction d’impôt jusqu’à 15% supérieure à l’investissement initial et qui sera effective dès l’année suivante. Ainsi, un investisseur souscrivant à un montage Girardin à Tahiti en l’année n pour un montant x, peut espérer une réduction de son impôt sur le revenu équivalent à 115% de x dès n+1. Il s’agit donc d’une niche fiscale très attractive.
Notre agence Girardin à Tahiti
Inter Invest est un des rares promoteurs de solutions Girardin présent à la fois en métropole (siège social à Paris), afin de capter au mieux les investissements, ainsi qu’en Outre-mer avec 9 agences locales (Polynésie française, Nouvelle-Calédonie, la Réunion, Mayotte, Guyane, Guadeloupe, Martinique, Saint-Barthélemy et Saint-Martin), afin de contrôler la réalité des investissements et accompagner les entreprises ultramarines dans le développement de leur activité. Le groupe est le seul opérateur disposant de la certification ISO 9001 ainsi que d'un double agrément en tant que société de financement & d’entreprise d’investissement. Notre agence est présente depuis 2006 en Polynésie française, son siège se situant sur l’île principale Tahiti. Notre équipe sur place se compose de 5 personnes. Elle opère sur des montages de défiscalisation principalement en loi Girardin industriel de plein droit, marché sur lequel nous sommes leaders à Tahiti. L’agence tahitienne participe activement au financement et au développement des activités économiques du territoire. On compte aujourd’hui 3 200 financements réalisés grâce à la défiscalisation.
Les particularités économiques de la Polynésie
Le marché de la défiscalisation en loi Girardin à Tahiti est très particulier : si la Polynésie est relativement grande (118 îles d’une superficie totale de 4167 km²), la population reste d’une taille modeste (280 000 habitants) et les opérations financées se concentrent à 80% sur 2 îles : Tahiti et Moorea. L’archipel polynésien étant isolé au milieu de l’océan Pacifique et ne disposant pas de ressources naturelles permettant une quelconque production et/ou transformation de matières premières, Tahiti est donc nécessairement très dépendante de l’importation. Le développement du tourisme, soutenu notamment par la loi Girardin sur la défiscalisation des investissements immobiliers et industriels, est freiné depuis le début des années 2000. Néanmoins, notre position de leader en Girardin industriel à Tahiti, nous permet de financer des projets récurrents :
- Défiscalisation de véhicules utilitaires légers (loueurs de voitures, professions du BTP…)
- Défiscalisation de véhicules industriels et engins de chantiers (camions, pelles hydrauliques, tractopelles).
- Défiscalisation de boulangeries (bâtiments, fours industriels).
Pour consolider notre leadership, nous avons élargi notre offre de défiscalisation pour le financement de projets dans les secteurs suivants :
- Activités touristiques (pensions de famille, loueurs de quads, clubs de plongée…)
- Fermes perlières (bateaux, moteurs)
En 2015 nous avons également financé le secteur de la pêche avec un petit Thonier de 13.5m (1 000 000 €). A l’avenir, nos projets de défiscalisation se tourneront naturellement vers le secteur touristique en finançant des campagnes d’aménagement sur la collectivité. Nous souhaitons également développer l’artisanat, une richesse propre aux archipels de la Polynésie.
Descriptif de la Polynésie française
- Population totale : 280 000
- PIB : 4,6 milliards d’euros en 2010
La Polynésie française est une collectivité d'outre-mer (COM) de la République française, son code postal étant le « 987 ». Elle est composée de cinq archipels regroupant 118 îles dont 67 seulement sont habitées. La Polynésie française est devenue aujourd'hui une collectivité d'outre-mer, bénéficiant d'une large autonomie par rapport au gouvernement métropolitain. Son axe principal de développement demeure le tourisme, reposant sur un patrimoine naturel et culturel exceptionnel. La monnaie utilisée en Polynésie Française est le franc pacifique (CFP)
Situation économique
L'économie locale classe cette collectivité d'outre-mer au rang des pays développés. Le tourisme et la culture de la perle sont les principales activités économiques de Tahiti et ses environs. La pêche et l'exploitation de l’huile de coco sont les deux principales activités traditionnelles. Tahiti exporte aussi de la vanille, des fruits, des fleurs, du monoï, des poissons. La perliculture (la culture des perles) a connu un fort engouement durant les années 90. Elle consiste à placer une bille de nacre blanche dans une huître. Deux ans plus tard, celle-ci la recouvrira de sa propre nacre. La perle de Tahiti jouit sur le marché international d'une excellente réputation, faisant de l’archipel une référence mondiale en la matière. Les principaux importateurs sont le Japon et Hong Kong suivis de l'Europe et des États-Unis. Le secteur artisanal, autre spécialité polynésienne, compte lui environ 13 000 membres. Le tourisme représente 13 % du PIB marchand de ces îles. Entre 2000 et 2007, l'archipel a accueilli en moyenne entre 215 000 et 220 000 touristes chaque année. Les îles les plus fréquentées sont Tahiti, Bora Bora et Moorea. A elles seules, ces 3 îles concentrent près de 90 % de l'offre d'hébergement en hôtellerie classée. Malheureusement ces dernières années le tourisme est en net recul. Le secteur industriel de la Polynésie française représente 9 % du PIB marchand. Il s’appuie principalement sur quatre pôles :
- l’agroalimentaire
- la construction navale
- les biens intermédiaires pour le bâtiment
- les activités de transformation (meubles, textile, imprimerie...)
Divers secteurs sont protégés par une taxe de développement local à l'importation (TDIL) qui concerne les produits importés concurrents (entre 2 % et 82 % de taxe).